Notre éditorialiste Carole vous raconte sa visite
Restaurant chez le Garde
Il y a des endroits où lorsqu’on met les pieds une fois, on y revient. Encore et encore.
Et avec le même plaisir. Le plaisir de trouver des hôtes qui savent vous recevoir, comme si vous étiez le plus VIP des clients. Et quand on se sent VIP, on revient. Encore et encore.
En famille, entre amis, en amoureux
En famille, entre amis, en amoureux, ce qui compte le plus pour Julien, le gérant de chez le Garde, c’est ça : mixer les genres. Et les gens. Julien se félicite d’avoir une clientèle très variée : des bikers, aux flics de la Bac de Marseille Nord, aux familles aixoises en passant par les pompiers aux infirmières de l’Hôpital d’Aix, qui viennent, tantôt avec leur compagnon et leurs enfants, tantôt entre collègues pour décompresser.
Pour ne pas déranger ceux qui voudraient un peu de calme, pendant que les autres enchainent les pastis au comptoir et les parties de pétanque, Julien a créé des espaces bien délimités : La terrasse ombragée par les oliviers, la terrasse couverte, la terrasse du fond avec un espace canapé, les deux salles intérieures et les nombreux comptoirs de bar. Vous y trouverez forcément votre bonheur.
Vous l’aurez compris, le thème ici, c’est la convivialité.
Le goût des bonnes choses
Mais pas que. C’est le goût des bonnes choses. Prenez la carte, vous n’y trouverez que des produits frais. Ici, on bannit intégralement la congélation ! Deux fois plus de boulot, deux fois plus de préparation, mais deux fois plus de saveur. En été, vous pourrez goûter les farcis, l’aïoli, et surtout de magnifiques côtes de boeuf à partager, avec une petite marinade provençales. Moi, aussi, j’en salive déjà. En hiver, chez le Garde, on y trouve de la double provençale, des jambons braisés ou un bon boeuf bourguignon.
Pour les amoureux du vin, Julien vous fera découvrir des petites pépites, qu’ils dénichent lui-même des quatre coins de la France.
Un cadre provençal
Et tout ça, mesdames et messieurs, dans un cadre provençal digne de la Gloire de mon père, avec un accès direct à la Sainte Victoire, chère à Paul Cézanne et au lac du barrage de Bimont, chère à Emile Zola, dont le père en avait fait la construction.
Ah ! Et j’allais oublier l’essentiel : les pizzas cuites au feu de bois ! Avec des produits frais et de qualité, choisis avec délicatesse chez les producteurs locaux. Julien vous fera découvrir chaque semaine une pizza particulière, concoctée selon la météo.